1966

C.T.I. Pixy MK V

« En 1966, Cliff Cooper fabriqua son studio d’enregistrement au premier étage d’un immeuble commercial qu’il avait loué à Amity Road, Stratford, dans l’est de Londres. Les voisins ont rapidement commencé à se plaindre du bruit, il a donc eu l’idée de faire un mini-ampli guitare à transistors qu’il a équipé d’une oreillette.

CTI synonyme de «Cooper Industries technique». Environ un an plus tard, d’autres entreprises ont sorti des produits similaires qui pourraient être utilisés avec un casque.

Cliff Cooper fabriqua l’amplificateur Pixy sur une planche de tag et avait trouvé que cela fonctionnait très bien. L’écouteur était une conception cristal faite par ACOS et l’ampli lui-même était alimenté par une pile de 9 volts qui s’adaptait à la base de l’unité. Concernant la boite, il le recouvra d’aluminium fin et ensuite de vinyle noir. Le circuit fut monté dans la boite. Il l’appela la CTI Pixy Mk V … il n’y avait pas de précédent mais il pensa que Mk V était un bon point de départ.

Il se souvient être allé aux bureaux de Melody Maker, où il rencontra deux journalistes, Chris Hayes et Chris Welch. Il leur montra le Mk V et demanda s’ils pouvaient lui écrire un sujet par semaine dans leur journal. Ils lui dirent qu’ils ne pouvaient pas l’aider personnellement, mais le mettre en contact avec le département de la publicité dont il lui donnèrent une idée du coût qu’il considérai comme une petite fortune pour une publicité d’une demi-page. Inutile de dire, qu’il décida de faire des économies et de faire une annonce avec un petit espace carré à la place. Il fut vraiment surpris quand, un mois plus tard, il vendait une centaine de pièces pour un peu moins de £ 2 chacun. »

1968
Matamp Orange
CRÉATION du premier amplificateur ORANGE …

Dans les années 1960, un homme du Yorkshire appelé Tony Emerson était un membre de « The British Interplanetary Society” un groupe de HG Wells inspirés par l’ère spatiale futuristes. Il conçut un amplificateur Hifi le “Connoisseur HQ20”. Tony prit ensuite sa création pour la montrer à son ami Mat Mathias à Radio Craft  un petite entreprise de réparation située à l’arrière d’un magasin de tabac que Mathias possédait à Huddersfield. Cette invention inspira plus tard Mat pour construire son propre amplificateur de guitare nommé la série Matamp 2000 qui fut d’abord un modèle de 20 watts puis 30 watts.

À l’automne 1968 Cliff Cooper était à la recherche d’un sous-traitant pour la fabrication des amplificateurs pour Orange Music et fut présenté à Mat Mathias. À la fin de l’année une évolution de l’amplificatuer de 100 watts (alimenté par deux lampes KT88) de la série 2000 entra en production logé dans une caisse orange réalisée par Cliff. Par courtoisie, le logo Matamp fut ajouté à la plaque frontale inférieure de l’ampli.

Matamp resta le fournisseur principale d’Orange Music amp  jusqu’à ce 1971 au cours de laquelle trois versions du Matamp Orange furent fabriquées: le “prototype” 100 Watts avec 2 x KT88, le 100 Watts avec 4 x EL34 et le 200 Watts avec 4 x KT88 200 qui était également disponible comme ampli esclave.

Les méthodes marketing innovantes d’Orange amplification assuraient la promtion des amplificateurs Matamp orange vendus en grand nombre dans le monde entier mais en 1970, Cliff Cooper chercha à concevoir un ampli de guitare qui serait définitivement Rock’n’Roll. Comme expliqué ci-dessus, le Matamp Orange fut initialement conçu pour produire un son clair et de plus en plus les guitaristes étaient d’avis que cet amplificateur sonnait * trop propre.

C’était à cette époque que Cliff eu l’idée et le concept de Amplificateur Classic # 2: le “Pics Only” fut lancé en 1972 et allait définir le son Orange.

CONCEPTION D’UNE ENCEINTE
«Quand j’ai d’abord vu le Marshall 4 x 12, j’ai pensé qu’il était fait de contreplaqué très épais. Mais quand j’ai regardé de plus près, ce n’était pas aussi épais qu’il paraissait. Il avait une bordure de cadre en bois supplémentaire fixé à l’intérieur à l’avant de l’enceinte pour créer l’illusion de bois plus épais. J’ai eu l’idée d’avoir un cadre plutôt que d’une caisse sur pour nos propres enceintes 4 × 12. Cette conception est une première pour nous, et elle a été beaucoup imitée par d’autres fabricants depuis. Cela donne aux enceintes et têtes d’ampli Orange un air unique. Sa conception à l’époque avait presque le même design qu’aujourd’hui. Le 4 × 12 a été conçu pour être très robuste et comportait une poutre centrale. Fabriqué à l’aide d’un contreplaqué marine 16 plis de bouleau et un habillage de vinyle orange résistant appelé Rexine. L’utilisation du Basketweave a vraiment participé à définir le “son Orange”. Au lieu de poser d pieds ou roulettes en plastique, dont nous avons constaté une tendance à vibrer, nous avons eu l’idée de poser des patins dures en bois. Cela a été à l’origine de la notion de durabilité, et de plus, il s’est avéré, que les patins amélioraient considérablement le son par couplage acoustique des enceintes à la scène. « 
– Cliff Cooper, fondateur et PDG d’Orange Amplification

1970
ENCEINTES PARABOLIC
“Dans les années 1960, la BBC avait sans aucun doute une longueur d’avance dans l’ingénierie du son studio. Le thème musical original de la première série télévisée Dr Who en était la preuve, impliquant des effets de studio avec des avancées révolutionnaires conçues par l’atelier radiophonique de la BBC. La BBC avait également produit un manuel de référence technique appelée “BBC Engineering” qui était disponible pour tout le monde. Un de leurs haut-parleurs de référence utilisait l’idée d’une enceinte courbée pour projeter le son, la BBC la baptisa l’enceinte PARABOLIC, qui n’avait qu’un seul haut-parleur. Comme beaucoup de choses dans l’ingénierie du son, ce qui fonctionnait en studio ne fonctionnait pas nécessairement pour la guitare. Mais Cliff Cooper pris idée de base de la BBC et la développa pour la guitare basse. Comme la BBC l’avait nommé PARABOLIC, il baptisa son invention du nom de PARABLA. Plus tard, il nomma simplement l’enceinte 2 × 15 REFLEX. Orange essayait toujours d’améliorer ses propres moniteurs de studio dans le studio d’Orange et ils apprirent beaucoup de choses sur les haut-parleurs et les enceintes, ce qui fut très utile quand il furent emmenés à concevoir quelque chose de complètement nouveau. « 

ENCEINTE BASSE 2 × 15  » REFLEX
« C’était notre idée d’avoir deux haut-parleurs de 15″, l’un au-dessus de l’autre dans des directions opposées. Avec les premiers prototypes, nous avons d’abord créé la courbure interne par pliage d’une seule feuille de contreplaqué mince, mais à un volume élevé, il avait tendance à vibrer. En fin de compte, et après quelques essais et erreurs, nous avons utilisé six couches de contreplaqué de 3 mm qui (ce qui était plus souple) collés ensemble. Les premiers fabricants d’enceintes comme Celestion, Fane et Electro-Voice étaient au courant de la technologie avancée. Autant les amplis devenaient de plus en plus puissants, autant les fabricants de haut-parleurs ont dû suivre le rythme. Nous avons  senti que notre conception de haut-parleurs 2 x 15 était de loin supérieur au niveau son à tout ce qui a deux haut-parleurs vers l’avant. Les bassistes ont été surpris par la projection du son,le REFLEX était bien en avance sur son temps. Nous avons utilisé principalement des Celestion ou Fane, mais nous avons offert une version de luxe du REFLEX en lui intégrant des haut-parleurs Electro-Voice. 1 × 15  » Bouncer Basse Reflex.  Le 2 × 15 se vendit si bien que nous avons développé le “Bouncer Bass cabinet” qui était équipé d’un seul haut-parleur de 15″ et était plus petit et plus portable. Nous avons également fabriqué un modèle “Full Range” avec un médium et un tweeter à haute fréquence, proposé à la paire pour les PA ou la musique Disco. Nous avons à nouveau considéré la réintroduction de l’enceinte Reflex, mais e ne sont pas, à l’heure actuelle, rentables à produire. « 

1972
LE OR100 PICS ONLY

Non seulement l’ “Amplificateur Valve Graphic1972 OR100” l’amplificateur qui définit le cruch médium reste le cœur d’Orange jusqu’à nos jours, il est également révolutionnaire en termes de style esthétique. Le logo psychédéliques Orange, le cadre qui habille les amplis et les enceintes acoustiques avaient déjà créé la société en tant que marque avec un ampli de guitare visuellement distinct et unique dans les années 1960. Les symboles hiéroglyphiques sur la plaque frontale sauta cette étape vers beaucoup plus loin. *

Au départ, les “Graphics” étaient aussi connus comme “Plexis” parce qu’ils avaient le côté plastique interne imprimable et ce panneaux avant en plexiglas était fixé par quatre vis  à une plaque en acier orange, puis au châssis. Les panneaux de l’ampli PICS ONLY n’étaient pas en plastique, mais il s’agissait d’une plaque métalliques sérigraphiée sans vis visibles.

La série “Pics Only” mettait en vedette les têtes 100 et 80 et des combos 80 watts 2 x 12  qui représentaient d’énormes vendtes dans le monde entier.

Le circuit du “Pics Only” est nettement différent de celui des premiers amplificateurs Orange. Les amplis des débuts d’Orange comme le OR200 avait le volume devant le circuit EQ, alors que les “Pics Only” avaient d’abord une EQ Baxandall, puis le gain, puis l’inverseur de phase. Qui plus est, le couplage DC inverseur de phase “accordéon” utilisé dans les premiers amplificateurs Orange a été changé pour une version “capacitor coupled” dans les “Pics Only”. Ce type de condensateur couplé d’un inverseur de phase rend les lampes de puissances  plus difficiles et cela crée un son plus saturé et croquant. De cette façon, les “Pics Only”  son devenu le début d’un nouveau son qui associait tout le monde avec Orange. « 

1974
LE OR120 PICS & TEXT
Le panneau avant Orange a été remanié en 1973 pour les tête Pics & du text. Ces modifications techniques incluaient un nouveau séparateur de phase par couplage DC accordéon, qui remplaçait la précédente phase de rétroaction négative inverters.La production commença fin 1973 avant le lancement Francfort 1974.

Les modèle Pics & Text était disponibles en tant que tête OR120 et OR80 watts et combo 2 × 12″.
La grande différence entre les Pics & Tex et ce qui avait été conçu avant, était que les Pics & Tex avaient un séparateur de couplage DC accordéon phase, ce qui a améliorait le son.

Le premier amplificateur numérique
“J’ai conçu l’ampli OMEC en 1974/75. Avant cela, j’ai passé quelques mois en tant qu’étudiant à régler des amplis à temps partiel au sous-sol de la boutique Orange et j’ai ensuite travaillé avec eux à temps plein pendant un an environ. Le cahier des charges était de “concevoir un ampli numérique ». Avec certains ordinateurs coûtant plus d’un million de livres et qui ont besoin de leur propre bâtiment et conditionnement d’air, quelques compromis ont été nécessaires.

Certains nouveau genre des choses bizarres appelées microprocesseurs ont commencé à apparaître au début et au milieu des années 1970, mais ils avaient besoin d’un grand nombre de composants pour faire un système utile. Les petits micro-processeurs existaient pour des choses comme les calculatrices, mais ils étaient en permanence  programmés … les coûts pour l’outillage sont immenses, et ils étaient seulement abordables s’ils étaient fabriqués en grandes quantités pour des centaines de milliers de personnes.

La seule façon sensée de faire ce travail était avec des circuits intégrés logiqes SSI et MSI [small and medium scale integration]. Le choix était entre TTL [transistor-transistor logic] qui était gourmands de puissance, mais faciles à se procurer et éprouvés, ou une nouvelle technologie de RCA appelée COS-MOS, qui ne demandaient pratiquement aucune puissance, mais avait aussi une habitude d’auto-destruction en raison de dommages statique.

La technologie COS-MOS était trop risquée à l’époque, mais c’est pourtant cette  technologie qui a conduit au micro-processeurs CMOS d’aujourd’hui, avec une protection statique intégrée, une faible consommation d’énergie et des millions de transistors sur une seule puce faisait partie de celle qui pourrait gérer tout le travail pour quelques dollars. Ainsi, l’ampli numérique OMEC était vraiment un ampli à commande numérique analogique. La moitié gauche de la carte numérique permettait le contrôle pour chaque paramètre [volume, bass, mid, treble, reverb, compression et distorsion] pouvant être stockées dans la mémoire de chacun des quatre « canaux ».

Ces preset pouvaient être rappelés en sélectionnant un canal à partir du panneau avant ou sur la pédale. La mémoire contrôlait le circuit audio sur la moitié droite de la carte via des commutateurs analogiques.
Mais il y avait un léger hic: la technologie TTL est tellement avide de puissance que la mémoire avait besoin d’une alimentation en continu de 5 V, de sorte que tous les paramètres s’effaçaient si l’alimentation était coupée! Une batterie de secours avait été ajouté afin de se protéger contre les brèves coupures de courant, mais cela ne durait qu’ une demi-heure.

C’était une idée en avance sur son temps, je le crains. C’était novateur, mais il n’y avait pas un bouton qui atteignait 11. Je doute qu’il était financièrement viable sans investir une somme importante d’argent. Quelques mois * plus tard, les microprocesseurs Z80 et 6502 sont apparus et ont engendré l’industrie des ordinateurs personnels. Le reste, comme on dit, appartient à l’histoire. « 

– OMEC numérique concepteur, Peter Hamilton
Les premières réactions à la technologie numérique OMEC étaient prévisibles – Surpris par l’absence de boutons et l’incrédulité que tous les paramètres pouvaient être contrôlés par seulement douze boutons-poussoirs. Le commentaire le plus fréquent, cependant, était que un tel amplificateur est très bien techniquement, mais était un peu trop complexe pour le musicien moyen, qui avait déjà assez à penser et n’avait sans doute pas un diplôme d’électronicien de toute façon? » critiques compréhensibles, mais même les critiques les plus endurcies ont changé d’avis après une expérimentation de quelques minutes avec l’amplificateur. Comme pour tout appareil conçu avec soin, la sophistication technique du « Digital » combinée avec une extrême facilité d’utilisation – Personne n’a eu à comprendre comment il devait travailler pour être en mesure de l’utiliser à sa pleine capacité.

Une autre critique a été que les différentes fonctions (tonalité, volume, etc) sont paramétrées grâce à l’un des nombreux niveaux fixes plutôt que d’être constamment variable il y avait un nombre limité de sons disponibles. C’était tout à fait vrai, le nombre de combinaisons différentes disponibles sur n’importe quel canal était limité à 806.737 suffisante pour produire une centaine de combinaisons originales chaque jour en un peu plus de vingt-deux ans. Espérons que c’était suffisant pour satisfaire la plupart des appétits.

1975
LE CUSTOM REVERB
Le Reverb Twin a été introduit pour rivaliser avec le Fender Twin Reverb. Nous visions ce marché, donc nous prix et notre version pour être compétitif avec le Fender. Le Orange Custom Reverb Twin était également équipé d’une reverb Hammond à ressort, un trémolo et un master volume. Il a été conçu comme un amplificateur de studio très polyvalent de 50 watts et, en effet, il s’est avéré l’être. Plus tard, une version de 100 watts a été faite, les deux modèles étaient livrés avec une pédale « .

Une nouvelle tendance en matière de style d’AMPLIS
Mick Dines:
“À l’époque, tout le monde portait un jean, donc nous avons pensé que l’idée Jimmy Bean pourrait pourrait donner une nouvelle évolution dans le style des amplificateurs. Je me souviens que de rechercher des matériaux jean denim et cuir pour les enceintes n’était pas si simple. Nous voulions que le le logo ressemble à l’étiquette en cuir marron au dos d’une paire de jean. Mais à la fin nous avons opté pour du laiton gravé et des angles en véritable cuir.”

“Je ne comprendrai jamais pourquoi le Jimmy Bean n’a pas bien marché. Le stack était magnifique et la l’ampli était portable et très polyvalent. C’était un modèle avec double canal qui avait un tremolo et un circuit sustain commutables. J’ai toujours eu le pressentiment que nous aurions dû faire un amplificateur à lampes. Toutefois, le talk box  Jimmy Bean était un grand succès; presque tout le monde l’utilisait: Stevie Wonder, Jeff Beck, Joe Walsh, Peter Frampton. John Miles utilisait le talk box Jimmy Bean sur « Slow Down », qui fut numéro deux dans le palmarès Billboard. La talk box est connecté entre l’amplificateur instrument et les haut-parleurs. Quand la pédale est enfoncée, la sortie est détournée des enceintes à un transducteur haute puissance vers le circuit interne qui projette le son vers un tube flexible. Le tube est attaché au support de microphone et inséré dans la bouche de l’interprète. Le son de la guitare se confond avec la voix de l’interprète et est ensuite capté par le microphone et amplifiée par le système de sonorisation.”

1976
L’overdrive ORANGE 120
Fondamentalement, cet amplificateur est un Pics & Text avec un inverseur de commande de volume principale post-phase ajouté, et avec le contrôle de Boost HF renommé en présence. Les boutons de commande de l’OD120 différaient de ceux sur les Pics & Text: les boutons de tonalité de l’Overdrive étaient plus gros, tandis que le master et le gain étaient légèrement plus petits. L’OD120 a été lancé à Francfort en 1976.

1979
UN NOUVEAU LOOK
« À la fin des années 1970, le monde de la musique avait évolué depuis les années 1960 psychédéliques, hippies. C’était mon sentiment que nos amplificateurs et les enceintes avaient l’air un peu vieillot et avaient besoin d’un lifting. J’ai changé toute la série orange classique. Le logo psychédélique a été remplacé pour une police moderne. La hauteur de l’encadrement de ampli a été abaissé afin de donner une apparence plus lisse de la tête. J’ai aussi changé les coins en plastique noir et remplacé la poignée de la sangle de couleur or par du noir. Les arceaux chromes ont été remplacés par du noir. Le tissu tressé marron clair des haut-parleur a été changé pour un matériau noir avec un niveau différent de transparence du son, et un interrupteur stand-by a été ajouté à la façade « .

« La Serie Two a également vu le lancement de notre premier ampli dédié, le orange Super Bass 120 watt, qui avait le look de la tête Overdrive Series Two. Les combos Hustler ont été un grand succès. Il y avait le combo 60 watts 1 x 12 master volume, et le combo Hustler Bass 60 watts 1 × 15.

Dans le but majeur de changer d’image, en 1978/79 orange divisa sa gamme de produits avec orange “Orange Sound Reinforcement” et “Orange Instrument Amplification”. La sonorisation inclut les système PA, les tables de mixage et les amplificateurs de puissance à semi-conducteurs.

Dans les années 1990, la gamme de la série Two a été remplacé par les rééditions Pics & text, puis le nouveau modèle “Oscillatory Transition Return (OTR)”. Le look rétro est de retour, et sur ​​l’insistance de Cliff, Orange est revenue à son origine. « 

ORANGE HUSTLER COMBINATION (GUITARE & BASSE)
Le «Hustler Guitar Combination était un combo master volume de 60 watts 1 x 12″.

Le «Hustler Bass Combination était un 60 watts 1 x 15″.

1997
Orange OTR
Cet amplificateur est l’Overdrive 120 4 x EL34 renforcée par dix-huit modifications. Introduit en 1997, l’OTR est synonyme de retour de la Transition oscillatoire. L’OTR 80 est la version 2 x EL34. Les tout premiers modèles avaient les lettres OTR sur le panneau avant dans une police beaucoup plus grande.

1998
Orange ORANGE AD30, AD15, AD30TC HEADS & COMBOS & AD50 CUSTOM SHOP
Développer l’Orange AD30 Head en 1998 a été un tournant décisif dans l’histoire Orange. A l’origine, le plan pour l’année 1998 avait été de produire la réédition du Hustler. L’Hustler Lead et le combo basses avaient été la plus grande réussite de toute la gamme fin 1970 de la série Two.

Cependant, la réédition du prototype Hulster fournie à Orange pour les essais n’a pas recrée les caractéristiques sonores particulières de l’original. Par conséquent, Cliff Cooper prit la décision stratégique de se lancer dans une toute nouvelle ère de produits innovants, pas uniquement rétro dans la conception d’amplificateurs Orange.

Le AD30H a été le premier nouveau produit et son design novateur incarnait l’ère Orange et l’attitude du Millénaire. Plus particulièrement, cet amplificateur master volume classe A s’équipe d’un circuit d’auto-polarisation et d’une lampe redresseur qui remplace les diodes classiques au silicium, ce qui assure une alimentation douce en douceur des lampes de puissance et prolonge la vie de ces dernières. Le combo AD30 “Vintage 30” s’équipe de deux haut-parleurs 12″ Celestion.

Le succès de l’ AD30 a été soutenue en 1999 avec le lancement d’une version 15 watts, l’ AD15  également disponible en tant que tête et combo.

En 2001, Orange a lancé une version “twin-channel”, l’ AD30HTC qui a depuis été vendu en grand nombre à travers le monde.

En 2002, une part SHOP mise à niveau du bâti AD30 a été introduit, alimenté par 2 x EL34, avec une AB 50 watts / classe A option watts de classe 30 et un sustain pédale. L’édition limitée de 2 × 12 « version combo a été appelé le AD50C.

1999
Orange Combo AD5
Un total de 64 AD5s ont été fabriqués à la main, point à point. Cet amplificateur pour collectionneurs avait une lampe de sortie et 1 x 12AX7 et 1 x EL84, et était équipé d’un haut-parleur Eminence Alnico 10 « .

Tête Basse Custom Shop AD410B
Orange a introduit cet ampli comme un version plus puissante et moderne pour la réédition du Super Bass abandonné. Cette tête avec un seul canal utilise des lampes 6L6 et est le précurseur de la série AD200B.

Seuls dix-sept amplis AD140B ont été fabriqués par le Custom Shop, tous faits main, point par point. Puis en 2001 vint l’AD140 Lead, un ampli complètement “Hand Wired”, une version guitare entièrement faite à la main de l’AD140 Bass, équipd’un master volume.

Plus tard, en 2001, un modèle “twin channel” un dérivé du AD140 a également été introduit avec des options de canal clean et crunch. Il s’appelait le AD140HTC.